Bref, je suis allée au cinéma.

Non, je ne suis pas là pour vous raconter ma vie, mais pour vous parler du film que j’ai visionné au cinéma le samedi 25 mai. Il s’agit donc de Gatsby le Magnifique, un drame de Baz Luhrmann basé sur le roman de Fitzgerald sorti le 15 mai dernier, lors de l’ouverture du festival de Cannes. Les acteurs principaux sont Leonardo DiCaprio, Tobey Maguire et Carey Mulligan.

Synopsis :

« Printemps 1922. L’époque est propice au relâchement des mœurs, à l’essor du jazz et à l’enrichissement des contrebandiers d’alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s’installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d’un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s’étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble. C’est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d’absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne et ses combats. »

Mon avis :

Si je devais donner au film une note, ça sera un bon 20/20. Le metteur en scène, les acteurs, décorateurs et toute l’équipe ont fait un travail spectaculaire, rendant l’oeuvre grandiose, étourdissante, etc… Bref, à couper le souffle. J’ai sincèrement ressenti des frissons me parcourant l’échine, bien que je n’aie vu que la version en 2D. Le décor est très travaillé et est en phase avec l’esprit du roman. Tout est très soigné ; les répliques au même titre que le jeu des acteurs, la musique qui nous suit tout au long de la diffusion, les couleurs ou encore des lieux dans lesquels se déroulent les scènes. J’ai été subjuguée. Et pourtant, j’avais auparavant visionné dans les cadres d’une étude approfondie dans mon option obligatoire l’adaptation de 1974 par Jack Clayton avec Robert Redford et j’étais restée sur ma faim. Je trouve que le réalisateur du nouveau film a su parfaitement s’adapter au contexte de l’époque, et a parfaitement su faire ressortir le déclin du rêve américain qui est dépeint dans l’oeuvre de Fitzgerald.

Je vous conseille fortement de le visionner et n’hésitez pas à poster vos avis.

Petit + : la bande son qui est composée de nombreux artistes connus, comme Gotye, Lana Del Rey, Beyonce, Florence and The Machine ou encore Sia. 

Je vous laisse apprécier ce petit extrait, un gros coup de cœur.